- Ce que dit J.P. Poulot est tout-à-fait exact, sauf qu'il exonère quelque peu les "chasseurs" du village. Il m'est arrivé personnellement d'aller déposer plainte à la gendarmerie de Pissos au sujet d'une large trace de cravache sur la glace arrière de ma voiture.... et de tomber sur un chef de brigade chasseur qui rechignait et se plaignait "qu'on leur avait déjà retiré le mercredi"... J.P. Poulot a débarqué à Mano bien plus tard que moi.....
A mon arrivée, il n'y avait pas que les "chasseurs" à avoir des comportements primitifs dans le coin (même les gendarmes, amis des Jaruzelski [chasseurs aussi tous les deux] étaient de la partie), d'où la rupture sur le plan des relations sociales. Il y fait tout de même discrètement allusion avec ses histoires de clôtures. Il a eu de la chance s'il a échappé aux prétendus "droits légaux de passage" (qui n'ont d'autre existence que dans leur tête).... Pour ma part, je me suis fait d'entrée des "amis" (et pas seulement chez les tontons flingueurs) en me permettant de traiter certains manéens et leurs invités de nazis.... ils semblaient être très fiers d'avoir gazé tout une famille de blaireaux. Pour pallier a l'utilisation des "droits de passage" (traversé du terrain, devant la maison, en tracteur), je n'ai eu d'autre possibilité que d'employer des méthodes soft mais expéditives, ce qui m'a valu une sinistre réputation. Bribes de conversation (pas très ancienne) entendue sur la place de la mairie. - Quelqu’un que je ne pouvais voir et dont je n’ai pas reconnu la voix, disait en parlant apparemment de moi : “il est encore là, lui ?”. Réponse (Détrieux père) : “il faut bien crever un jour”. Mais il y a eu malheureusement bien pire. L'image en tête de page montre que je n'avais pas tort lorsque je les avais baptisés "Manéandertaliens" !...... A noter que la partie haute de cette page (où il est question de “primates”) était en ligne bien avant la publication de la lettre. ------------------------------------- - Mano story... (suite, petit aperçu du topo). Juste un exemple de faits locaux : l'histoire qu'a vécue un certain J.M., employé communal (marié, père de deux enfants). J.M. s'était permis d'émettre des doutes au sujet de ventes de bois par la commune (ventes de gré à gré, paraît-il, entre le maire Jean Mouhica et le marchand de bois). Selon lui, le volume officiellement déclaré ne correspondait pas du tout à la surface déboisée, "ça saute aux yeux" disait-il (ayant déjà participé à des cubages, il avait quelque expérience du sujet). Curieusement, un hangar appartenant au maire a brûlé avec le tracteur qu'il abritait.... J.M., qui subissait déjà toutes les brimades possibles (en vue de l'évacuer), a bien entendu été désigné comme présumé coupable. A peu près au même moment, le puits des Jaruzelski aurait été empoisonné, le gazon de la pelouse s'en était trouvé tout grillé.... J'ai moi-même été incriminé sur ce coup-là. La situation a duré un certain temps. Excédé, rendu même physiquement malade par tout ce qu'il subissait quotidiennement, J.M. avait dit publiquement qu'il voulait "tous les tuer". "Tous" : ceux que j'avais surnommés* les "Racaillouskis" et les "Gars laids" (les manéens les reconnaîtront aisément) ainsi que le maire de l'époque. (*/ une petite pancarte en atteste encore). A cause de la menace proférée, la tenancière de l'agence postale allait prendre son service avec un fusil de chasse en bandoulière !... Fait signalé à la gendarmerie. La postière en question, Bernadette Jaruzelski, a par la suite été virée pour avoir ponctionné les comptes bancaires de personnes âgées (pénalement condamnée pour cela; pour la forme, a minima bien entendu, vu qu’aucune plainte n’a été enregistrée).
Après avoir asséché le secteur et détruit ainsi une grande partie des arbres (dont les miens) en creusant illégalement le fossé, les Jaruselski ont pollué la nappe phréatique. Leur système d'arrosage repompe donc leurs déjections. Lorsqu'ils le mettent en route au printemps (actuellement 2010), ça pue à des lieues à la ronde ! Mais ne vous avisez surtout pas de les critiquer : vous seriez taxés d'antisémitisme et vous vous feriez inconditionnellement taper dessus par les autorités officielles. Aujourd’hui, ils se font appeler “De Slepowron - Jaruzelski”. Normal, la merde a toujours cherché à se dorer, ce n’est pas nouveau. Ceux-là n’ont pas dû arriver par le bon trou. Tout n’est que façades chez eux, mais ça ne trompe que les imbéciles : “quand c’est trop fardé, ça sent la p...” .
lI y aurait de quoi écrire un bouquin avec toutes les ignominies qui ont été perpétrées dans le secteur, et il y en a de bien pires encore que l'histoire de Jean-Marc.... Mais ceux qui les ont connues deviennent rares et ne souhaitent visiblement pas se souvenir de leur lâcheté... et les acteurs font tout pour cela.
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