abc
Posté le 04/08/2009 à 17:01
A la Réunion, une femme enceinte battue se sépare de son compagnon. Celui-ci n’accepte pas la séparation et harcèle quotidiennement la femme. Multiples mains courantes pour violences et siège de son domicile.

A la naissance, un juge intelligent donne un droit de visite au compagnon.
Qui continue les violences deux ans et finit par menacer de se suicider avec l’enfant.

Les menaces sont confirmées crédibles par un suicide tuant l’enfant.

Le moins qu’on puisse en dire est que le juge qui a accordé un droit de visite sans surveillance, sans la moindre mesure de protection de la femme et de l’enfant malgré les faits patents de violences sur des années et les menaces, ce juge est responsable de la mort de cet enfant et du suicide du père.

Cela s’appelle une faute professionnelle majeure, par négligence, incompétence : homicides involontaires.
Et c’est du pénal condamnable.

Un mécanicien voiture qui, par son incompétence, sa négligence, provoque la mort de deux personnes, est inculpé, condamné.

Un juge qui provoque la mort de deux personnes par son incompétence, par sa négligence, n’est tout simplement pas inquiété.

Il peut donc être un fumiste éternel ne se corrigeant jamais, trainant pendant une carrière entière son inadaptation au métier.

Mais pire encore : c’est tout le système judiciaire qui est ainsi irresponsable de ses fautes professionnelles, restant indéfiniment incompétent, négligent.
Et s’en foutant.

Le pouvoir incontrôlé et impuni rend inintelligent :
Il est sidérant que le système judiciaire n’arrive pas, -ne veuille surtout pas- comprendre que l’impunité rend inadapté, impopulaire, injuste, inapte aux fonctions.

Et qu’on n’a pas de bons professionnels sans enregistrements des procédures, contrôle, sanction et vidage des fumistes et des magouilleurs révélés.

Mais l’approximation des décisions permet d’arranger discrètement les 3 à 5 % « d’affaires de copains ». Des copains qui notamment détiennent les signatures magiques des avancements au choix : le système s’est rendu impunissable pour pouvoir magouiller et erreurer sans retour de bâton de la part des victimes qu’il fabrique.

Mais viole l’art 15 de la DDHC, préambule de la constitution : "la société a droit de demander compte à tout agent public de son administration".

Et des gens que le Peuple paye pour faire respecter les Principes Républicains anti dictatures, sont les premiers à les violer au profit de leurs petites dictatures.

Et les dictatures sont harakiriques : bêtes, méchantes et suicidaires.
Même si difficiles à suicider.

Elles implosent de leurs excès.
Il suffit de les mettre en exergue.

abc
Posté le 19/07/2008 à 09:54
Le procureur de l’affaire Outreau vient d’être déclaré, par le conseil supérieur de la magistrature, innocent de toute faute professionnelle.
Le juge d’instruction en avait déjà été innocenté, remercié par primes et avancement.
Il s’est dit que 64 magistrats avaient eu le dossier en main.

Treize innocents légaux ont fait 3 ans de taule sans aucune preuve de culpabilité.

Et aucun, aucun, aucun, aucun, aucun, des 64 magistrats impliqué, n’a été sanctionné, n’a commis de faute. Ni même le juge d’instruction qui a « un peu arrangé les dossiers ». Ni encore moins le procureur en charge des poursuites judiciaires.

Cette impunité durera tant que les juges jugeront eux-mêmes, juges et parties, les contentieux qu’ils fabriquent avec les justiciables.

La magistrature est une simple mafia qui protège ses incompétents et ses magouilleurs. Qui protège ses possibilités « d’arranger les affaires de copains-coquins » au détriment des droits des victimes des Principes Républicains.

Ce sont de simples dictateurs violant allégrement les Droits les plus Fondamentaux des Citoyens.

Un jour, sur leur exemple, leurs victimes feront elles-mêmes leur propre justice ?

abc
Posté le 23/02/2009 à 08:42
Je suis testeur et audit dans le plus professionnel des métiers.

J'enseigne "le professionnalisme".

Dont la base est que la rigueur technique et la rigueur morale vont de pair. Et réciproquement.
Et qu'il suffit de vérifier l'un ou l'autre pour savoir la valeur de n'importe qui dans l'un ou l'autre des domaines. Et dans n'importe quelle fonction.

Il suffit de suivre une voiture pendant trois kilomètres pour savoir ce que vaut le conducteur, à la fois sur les plans professionnel et privé. Ceci sans rien savoir rien de lui, ni de son sexe, ni de sa profession.

Il te suffit de réfléchir pour comprendre comment et pourquoi. Puis d’observer.

N’écoute ce que les gens disent que pour information : tout le monde se présente sous son meilleur jour. Regarde les résultats, ce qu’ils font. Mais surtout ce qu’il « oublient » ou refusent de faire : le « geste inconscient » te donnera leurs motivations réelles, qu’ils se cachent souvent à eux-mêmes parce qu’elles ne sont pas trop nobles. Individus et systèmes.

Quant à « qui trouve grâce à mes yeux », il te suffit de savoir que le conducteur moyen commet trois fautes de conduite au km : Le quidam moyen est un "approximatif", sur tous les plans : peu fiable.
Et pourtant il existe des conducteurs qui n'en font aucune sur deux cents km : j’ai 45 ans de conduite sans un seul accident responsable.
Mais quel que soit le domaine, je cherche la perfection jusque dans le moindre détail.
Et « la perfection » coute bien trop cher pour la plupart des individus et des systèmes.

Il est des domaines où « l'approximatisme » n'est pas tolérable.
En particulier dans un domaine comme « la justice », impliquant la sécurité collective, donc la tienne, et les Droits Fondamentaux, donc les tiens.

Ou encore dans la formation des jeunes générations : il est inadmissible que 150000 élèves sortent chaque année de l’EN sans avoir aucune chance de s’intégrer proprement dans la société. Ceci à cout 40% plus élevé par tête que les meilleurs systèmes européens.

J'ai déjà une petite idée sur ta valeur professionnelle : ta question implique que tu te permets des "approximations sans importance" : As-tu déjà volé un trombone à ton travail ?

Mets-moi dans n’importe quel système, et tu vas constater des améliorations étonnantes : Partout où je suis passé, y compris dans des systèmes prétendus in-réformables, les choses se sont drastiquement améliorées. Je m’y suis fait des haines inextinguibles de fumistes débusqués, et si possible virés : Quantité de gens à titres prestigieux, arrivés à leurs postes par ancienneté ou par diplôme scolaires, sont de simples rigolos. J’en ai virés quantités, qui ne seraient jamais crus capables des fautes professionnelles commises.

L’accident, la bavure, n’ont rien d’accidentel : c’est toujours la « conjonction favorable » de multiples fautes professionnelles permanentes, considérées individuellement comme inoffensives, parce qu’elles ne créent pratiquement jamais d’accident à elles seules. Et qu’elles sont donc des tolérances admises pour facilités de la vie.
Et le jour de la « bonne conjonction », on accuse la malchance.
Alors que la bavure est un risque statistique préprogrammé en fonctions des tolérances sur les causes élémentaires permanentes.

L’impunité à ces « petites approximations sans importance » commence toujours par rendre un système incompétent, inadapté.
Quand on en arrive à la bavure régulière, comme « la justice », le système est déjà complètement pourri, à remettre à plat complètement.

A Melun, des portiques non opérationnels depuis des mois : tu peux t’estimer heureux que les évadés n’aient pas été intelligents : ils auraient dû tuer tous les otages successifs et mettre leurs cadavres dans les coffres : Ils seraient encore dehors.
Une petite tolérance de rien du tout : des portiques inopérants parce qu’ils ne servent jamais à rien, et qu’ils occupent du personnel inutilement.

Il a suffit d’une rigueur sur les vitesses pour diviser par deux le nombre de morts sur les routes. Et pourtant des milliards d’excès de vitesse « sans importance » n’avaient créé aucun accident : la « tolérance zéro » est la seule condition d’efficacité.

Le bon professionnel est un inquiet perfectionniste.
Le fumiste est un optimiste approximatif.

Le fumiste réclame toujours « des moyens »parce qu’il n’y arrive pas. Il n’accuse jamais son incompétence. Et, mal formé, on peut être d’une presque parfaite bonne volonté et être complètement incompétent : les instits’ actuels qui ne savent pas l’orthographe ont quelque mal à l’enseigner.

Regarde autour de toi : tu sauras tout de suite.

L’impunité aux petites fautes, et à fortiori aux bavures, entraine non seulement l’inadaptation du système, mais pire : les magouilles, attirant « en entonnoir » les magouilleurs.

Le fonctionnaire est le plus impuni des employés. C’est donc statistiquement le plus incompétent et le plus magouilleur : A poste égal, le fonctionnaire a une productivité de 37% de celle du privé (rapport officiel) : Il faut trois fonctionnaires pour abattre le travail d’un privé.
Sur 6 millions de fonctionnaires, nous avons 4 millions de purs parasites. A quantité de travail égale.

Le summum de l’impunité étant les professions de justice, cette administration est la plus incompétente, la plus inadaptée, et la plus magouilleuse de nos administrations. La plus méprisante du citoyen. La plus dangereuse en violations des Droits Fondamentaux.
(Ne parlons même pas des avocats, ou les politicards, dont les métiers reposent sur l’aptitude au mensonge.)

Mais pire encore : une victime a moins de Droits que les criminels. Parce qu’avec ses imbéciles prétentions à justice, elle est l’empêcheuse de magouiller en rond dans « les affaires » de « copains-coquins » qu’on veut « arranger ».

L’impunité des magistrats n’a que cet objectif : interdire tout recours contre un magouillage judiciaire : le système est structuré pour pouvoir magouiller impunément : réfléchis : Pourquoi les innocents ne peuvent témoigner sous détecteur de mensonges afin de prouver leur innocence, pourquoi les juges ne veulent ils pas de la vérité imposée ? Pourquoi personne n’est jamais condamné pour faux témoignage ? Pourquoi les procès « publics portes ouvertes », sont interdits d’enregistrement ? Pourquoi ne peut-on obtenir copie des comptes rendus des procès d’assises ?

Et du magouillage voulu, rigueur morale égalant rigueur technique... tu comprends le pourquoi de l’inadaptation technique complète de « la justice » aux besoins du justiciable, en particulier de la victime, et aux besoins de la société ?

abc
Posté le 17/01/2009 à 10:32
Le terme recouvre l’habitude qu’a « la justice » de déclassifier les "crimes" en « délits » pour éviter les assises à l’inculpé : pour éviter le « jugement du peuple » dans les cas où « la justice » estime qu’elle ne pourra pas contrôler totalement les jurés.
Jurés pourtant déjà sélectionnés bénis-oui-oui sur leur inaptitude à contester « l’autorité ».

La « correctionnalisation », sous prétexte général de « simplifier et d’alléger les procédures », consiste donc à déposséder le Peuple de son petit droit à juger, pour imposer la volonté des fonctionnaires-juges.
Là où les sanctions ou acquittements prévisibles par « jury populaire » ne leur plaisent pas.

Le procédé est assez simple : jouer sur les dénominations des crimes : Une « tentative de meurtre » : « assises », est rebaptisée « coups et blessures » : « correctionnelle ».

«Correctionnalisation», organisée dans le premier cas où un inculpé serait absout d’avance par jury populaire.
Ce qui justifierait des choses non voulues. Comme, par exemple, le droit à l’autodéfense : Pour garantir une sanction pénale là où le Peuple de bonne foi n’en verrait pas nécessité.

Il y a un exemple d’un commerçant cambriolé une douzaine de fois, qui a pris un fusil et tué son voleur dans le dos dans la rue : Rien de la légitime défense. Mais, d’avance, l’approbation de la populace. On lui a donc proposé une « correctionnalisation de l’affaire » pour « éviter une trop lourde peine ». L’avocat, intelligent, a refusé, exigeant les assises et le jury populaire : le commerçant n’a jamais été jugé, parce que l’acquittement populaire était évident d’avance, ...désastreux précédent, incitant à l’auto-justice.

Le deuxième cas, où l’on « correctionnalise », est inverse : le cas où un jury populaire punirait fermement, dans les affaires où il y a « risque de troubles publics », ou en cas de copinages judiciaires entre copains-coquins.

Nous en avons actuellement deux magnifiques exemples :

Un élève poignarde son prof de trois coups de surin. Il s’agit là d’une tentative de meurtre, qui sera jugée telle en assises : l’affaire ne fera pas de bruit. L’individu est inconnu des médias, sans appuis. Avec un passé psychiatrique, il sera probablement déclaré irresponsable. Ce qui ne dérange personne.
A l’opposé, nous avons l’exemple de Nacéry, qui a donné un coup de couteau tranchant la gorge de quelqu’un : dont la volonté de tuer est évidente.
Il n’est inculpé que de « blessures volontaires » : correctionnelle :
Viser couper la gorge de quelqu’un n’est pas une « tentative de meurtre » !!!
Mais « la justice » ne veut pas prendre le risque du jugement populaire : C’est un beur, et « le Peuple » peut être tenté de lui faire payer les 80% de « origines sud-méditerranéens » peuplant nos taules.
Mais surtout, Nacery est largement connu par les médias, symbole de sa minorité. Il y a risque de « troubles publics » importants en cas de condamnation ferme.
Ce qui explique déjà l’extrême mansuétude de « la justice » envers ses multiples frasques judiciaires antérieures.

Nous avons un autre exemple en cours, encore plus caricatural : les hormones de croissance.
Rien que « la banalité » de 117 décès imposait les assises et le jury populaire. Aboutissant d’avance à de lourdes peines.
La « correctionnalisation » a permis un acquittement général.
Les mouvements d’humeur autour de ces acquittements ont fait que le Parquet a fait appel.
…pour trois de six acquittements, au bout de dix huit années de procédures : la volonté d’étouffer. Parions d’avance que les peines infligées seront fictives.

« Notre » « justice », aux fonctionnaires impunis d’avance, est structurée pour être la plus magouilleuse, la plus immorale, de nos administrations.

abc
Posté le 30/12/2008 à 18:44
Un dangereux schizophrène s’est encore évadé. Il n’est pas juridiquement dangereux puisqu’on l’a déjà absout d’un assassinat.

Voila un type qui est suffisamment fou pour ne pas être responsable de ses actes criminels. Mais suffisamment astucieux pour déclencher une alerte incendie pour s’évader. Et qui sait parfaitement qu’il ne risque rien à assassiner à nouveau.

Quelque part « la justice » marche sur la tète : le moindre principe de précaution voudrait que tout irresponsable montré dangereux jusqu’à l’assassinat ne puisse jamais être remis en liberté dans une maladie dont on ne guérit jamais.

Mais nos juges s’en fouteront indéfiniment tant qu’ils ne seront pas personnellement impliqués.

Une bavure majeure toute les semaines : avec « la justice » on n’est jamais déçu.

La plus inadaptée, la plus incompétente, la plus approximative de nos administrations.

abc
Posté le 17/12/2008 à 17:37
Un procureur a demandé la relaxe du procureur Montgolfier.

Sans rien savoir du dossier, on peut se demander s’il y avait matière à inculpation, et on se demande le pourquoi de la demande de relaxe? …ou s’il n’y avait pas matière, et on se demande pourquoi il a été mis en examen ?

Mais dans les deux cas, on peut estimer qu’un procureur s‘est dit que s’il faisait perdre son impunité au collègue, la sienne sautait en même temps : le Montgolfier était absout d’avance dans un procès qui n’est qu’une commédia del’arte entre bouffons.

Il faut avoir assez peu de notion de l’Honneur parmi les magistrats pour s’auto-juger et s’auto-absoudre d’avance.

abc
Posté le 17/12/2008 à 03:44
« Notre » « justice » ne sortira jamais de l’ambigüité, de l’immoralité,
par la punition en fonction de la gravité des résultats,
au lieu de la punition en fonction de la gravité de la faute.

Trois jeunes filles ont été condamnées à 3 ans de taule fermes pour avoir incendié des boites à lettres.
Ce qui semble exorbitant pour un délit aussi mince. Lequel n’aurait, en d’autres circonstances, même pas écopé d’une tape sur les doigts.

L’incendie, se propageant, a fait 18 morts : les trois ans de taule sont parfaitement dérisoires si on juge sur les résultats.

Faute de décision claire : punir la faute, ou punir ses résultats, les mina-mini ne satisfaisant personne, ni les coupables ni les victimes, sont la tarte à la crème de « notre » « justice ».

Ceci à tous les niveaux : en quoi une « guetteuse », écopant d’un an de moins, est-elle moins responsable que ses complices ?

« Notre » « justice » est une approximative, à tous les niveaux.
A commencer par les principes de base.

Mais font la joie et le nombril de juges se faisant tout puissants par une latitude de décision infinie, et une impunité totale.

Ajoutons un an en sursis , histoire d'agrandir la peine , sans l'agrandir : l'hypocrisie permanente.

abc
Posté le 17/12/2008 à 03:47
Une mère ayant abrégé les souffrances de sa fille handicapée, avait été jugée innocente de son assassinat, en assises premier degré : par « jugement du Peuple » .

La jurisprudence étant désastreuse : On ne risque rien à assassiner les handicapés, le parquet à fait appel.
Pour condamner la mère à deux ans avec sursis : un acquittement de fait, mais une punition de symbolique. Par « jugement du Peuple » : les nouveaux jurés ont été mieux « éclairés » par les trois vieux chevaux de retour du nouveau procès.

Une nouvelle fois « notre » « justice » fait de l’approximation:
- Soit il s’agissait d’un geste salvateur abrégeant les souffrances : on achève bien les chevaux. Et c’est l’acquittement.
- Soit il s’agissait de l’assassinat d’une victime incapable de se défendre, par la personne chargée de protéger sa vie. Et c’est la perpète.

« Notre » « justice » a l’art des faux-semblants n’ayant pas grand chose à voir avec les moralités.

abc
Posté le 27/10/2008 à 04:42 Re-re-bavure
De 1986 à 1999…
Une série de douze femmes tuées dans la vallée de la Saône vient de rebondir à la demande des familles : on avait tout simplement oublié de comparer les dossiers, et d’analyser les prélèvements.

Les familles envisagent de porter plainte contre l’État français pour faute lourde.

On peut leur dire de garder leur argent et leur énergie : Demander à « la justice » de juger les fautes de « la justice », c’est aller directement vers un non-lieu au bout de quelques dizaines d’années.
Si par mégarde la plainte ne va pas directement au panier dès réception.
Si le contrat n’est pas implicite avec la complicité de l’avocat : plainte égale fin définitive des enquêtes : victimes critiques, allez vous faire foutre.

Mais il faut bien comprendre les juges : si on commence à arrêter les criminels, ils vont se retrouver sans boulot. Le spectre du chômage pointe… Leurs meilleurs éléments sont les sérial-killers : il faut absolument les ménager, les laisser faire, pour justifier les salaires des juges.

Sanction des fautes et des bavures totalement exclue, « notre » « justice » est la plus inadaptée, la plus incompétente, la plus immorale, et la plus magouilleuse de nos administrations

abc
Posté le 27/10/2008 à 03:44 Re-bavure
Un inculpé a été condamné à dix ans de prison par la cour d’assises de l’Hérault.

Voici donc un individu dont on avait suffisamment de preuves de culpabilité pour un crime suffisamment grave pour que la « justice » le condamne à DIX années de taule ferme.
En prétendues dix minutes de délibérés : pas le petit délinquant, pas le moindre doute.

L’individu comparaissait libre, s’est enfui avant le verdict, et court dans la nature.

« Notre » « justice » est toujours aussi professionnelle : elle prétend « n’avoir commis aucune faute ».

N’importe quel imbécile, même pas riche d’une expérience et d’une législation de plusieurs siècles, n’aurait pas relâché un criminel prouvé coupable d’un crime de dix ans de taule.

Mais la justice dit n’avoir commis aucune faute : elle a « appliqué la loi ».

Cette même loi qui l’autorisait à garder l’individu en taule jusqu’à son jugement.
Cette même loi qui lui permettait de mettre le prévenu en taule la veille de son procès.

Mais « la justice », avec son imagination fertile et son habituelle aptitude à agir intelligemment, a tout simplement considéré comme acquis qu’un criminel susceptible de dix ans de taule avait suffisamment de notion de l’honneur pour attendre son incarcération.

Tout comme la notion d’honneur de « notre » « justice » lui permet de dire qu’elle n’a pas commis d’erreur, et qu’elle a « appliqué la loi » : Ne reconnaissant jamais ses fautes, même les plus criantes, elle n’est pas près de s’améliorer.

Gageons d’avance qu’aucun juge ne sera sanctionné.
On peut attendre la prochaine bavure des ces « irresponsables » : c’est tous les jours, qu’on peut s’étonner des dysfonctionnements de la plus impunissable de nos fonctions publiques.

abc
Posté le 25/10/2008 à 07:50 Encore une bavure judiciaire
Pour se venger d’un prof, un ado de 15 ans l’a accusé de l’avoir frappé d’un coup de poing.
Le prof a été mis en examen.
Encombré par d’autres problèmes, le prof s’est pendu.
On s’aperçoit que l’ado avait menti. Pour se venger de quelques mauvaise notes et appréciations ?

Si les faits n’ont pas eu lieu, il n’y avait pas de témoins ? C’est donc sur la seule déclaration du gamin que le prof a été inculpé ? Contre les dénégations du prof ? Parole contre parole ? Pourquoi celle du gamin avait elle plus de poids que celle du prof ?
Est-ce que ça n’est pas un peu léger de la part du juge d’instruction saisi de l’affaire ?

La première conclusion est assez dramatique : Pourquoi les juges interdisent ils aux justiciables le droit de témoigner sous polygraphe : sous détecteur de mensonges, pour établir la vérité ?
La simple possibilité évitait l’inculpation du prof.
Interdisait préventivement l’accusation du gamin.
Interdisait la bavure. Bavure allant jusqu’à mort d’homme.

Voila une bavure régulière des juges refusant le moyen rapide d’aller vers la vérité : pourquoi ces juges refusent-ils l’immense simplification de leur travail et la précision de leurs décisions ? l’évitement de la quasi totalité des bavures judiciaires ?

Il n’y a qu’une explication : il y a un certain nombre « d’affaires » où l’imposition de la vérité par les gens honnêtes ne leur plait pas du tout : Ils veulent imposer une « vérité dossier » différente des « vérités vraies »:
Ils veulent pourvoir « arranger » les « affaires de copains ».
Et on pense tout de suite aux « copains » qui signent leurs avancements au choix.
Ou aux « copains-coquins » de la secte des francs-maçons.

Voila un juge d’instruction qui a commis une faute lourde, et qui n’en sera jamais puni.
Mais qui continuera à condamner le plombier responsable d’une fuite d’eau.

La deuxième conclusion est encore plus dramatique :
Comment se fait il qu’un élève ait la possibilité d’envoyer son prof devant un juge par n’importe quelle accusation non étayée ?
Est-ce que « notre justice », à force de protéger les ados, n’a pas un peu oublié de protéger les adultes ?
Est-ce que la progression extraordinaire de la délinquance juvénile n’est pas de la faute de juges un peu trop oublieux que l’âge de raison : différencier le bien du mal, commence à 7 ans ? Et que les punitions doivent commencer à tomber dès l’âge de sept ans ?
« Notre » « justice » marche à côté de ses « pompes ».

La troisième conclusion est encore pire :
La réussite de l’enseignement dépend exclusivement de la relation affective personnalisée entre maitre et élève. Comment en arrive t on à la haine d’un élève jusqu’à ce qu’il pense se venger par une fausse dénonciation ? Il y a là comme le sommet de l’incompétence pédagogique de l’enseignement.
Rappelons que 50% des élèves en primaire, et 75% des élèves du secondaire détestent l’école.
Comment une institution en arrive t elle à méconnaitre aussi complètement les critères de ses missions ?

Et dans les deux cas : inadaptation de la justice et inadaptation de l’éducation nationale, il y a la même cause : l’impunité des fautes des incompétents.

Outre détruire et pourrir chacune des centaines des milliers de vies chaque année, il arrive que des gens en meurent.

abc
Posté le 24/10/2008 à 11:53 "Infirmes" ?
Un violeur, reconnu dangereux récidiviste à ne jamais libérer, a été relâché dans la nature pour une petite erreur de rien du tout ,en rédaction de l’arrêt d’un appel : un « confirme » un jugement est devenu un « infirme ».

Le moindre bon sens voudrait que l’erreur reconnue annule purement le document, et que le dangereux reste en taule.
Il serait assez simple de rectifier le texte : N’y a-t-il pas des « infirmes » du cerveau parmi nos fonctionnaires de justice ?

Mais nos juges sont tellement la religion du texte que même une erreur reconnue est exécutable, « a force de loi ».

La justice n’a pas de bons rapports avec le simple bon sens : comment espérer de l’intelligence de la part d’une administration totalement impunissable d’avance ?

Gageons que les auteurs de la faute, greffière et président qui a signé, n’en subiront aucune conséquence, ne seront pas virés.
Y compris si le récidiviste relâché ...récidive, comme il est déjà pré-annoncé.

Petites filles rasez les murs : les juges ont lâché le fauve.
Ils remplissent bien leur mission de nous protéger.

Faute de sanction des responsables, c'est tous les jours qu'on observe des bavures majeures de la part de la plus inadaptée et la plus inintelligente de nos administrations.

abc
Posté le 23/10/2008 à 13:44 FRONDE DES MAGISTRATS
Des magistrats, ceux « de gauche », je suppose, manifestent « contre la politique judiciaire » de leur ministre.

A force d’impunité et de nombrilisme, ces dieux de l’Olympe ont oublié qu’ils ne sont que des petits fonctionnaires sans aucune légitimité aux ordres du pouvoir politique représentant la Nation.

Par simple évocation des piètres résultats et des immenses inadaptations de la « justice »,
…la plus incompétente, la plus magouilleuse, la plus immorale de nos administrations,
…aux résultats aussi désastreux dans tous les domaines : recherche de la vérité, punition et dissuasion des criminels, protection des victimes, adaptation des mesures aux problèmes nouveaux, simple gestion administrative catastrophique…
…« nos » fonctionnaires de justice devraient faire un minimum de vol rasant.

abc
Posté le 23/10/2008 à 09:35 Policiers frappeurs
Les statistiques officielles disent que 10% des hommes battent femmes et enfants. Ceci dans toutes les tranches de la société. Et que ces gens présentent par ailleurs de parfaites images de parfaits citoyens parfaitement honorables : vous en avez un sur dix dans vos relations, sans en avoir la moindre conscience.
Qu’il en meurt 300 enfants et 160 femmes par an.
Comme on n’observe pas les 460 procès d’assises impliqués, on peut dire que ces jeux sont plus ou moins tolérés :

Assurez l’impunité à une société quelle qu’honorable qu’elle paraisse, et vous aurez dix pour cent d’« indélicats psychotiques »…
…(on n’a pas le droit, malgré l’envie et l’exactitude de mots, de les traiter publiquement de « fumiers » ...
... dix pour cent d’« indélicats psychotiques » libérant leurs instincts criminels : Regardez toutes les périodes de troubles, et vous les verrez à l’œuvre jusqu’à l’assassinat collectif.

L’observation montre que si les femmes sont moins frappeuses, leur sexe ne comporte pas moins de salopes tout autant capables de nuire sans limites par d’autres moyens.

Donnez les moyens d’État à ces « indélicats » psychotiques impunissables, et vous avez de parfaits dictateurs violant les Droits les plus Fondamentaux des Citoyens.

Deux policiers frappeurs se sont fait baiser parce qu’il ya eu enregistrement vidéo par un témoin.
On peut penser d’abord que ça n’est pas la première fois qu’ils agissent ainsi.
Ensuite que si leurs interventions étaient systématiquement enregistrées, comme aux État Unis ou en Russie, il y aurait moins de bavures, les keufs auraient moins d’ennemis, et l’État meilleure réputation.

Or il existe une tranche de la société qui se juge elle-même et qui s’absout d’avance de ses crimes : les juges.
Le tout en parfaite violation :
- du principe de base de la notion de justice : nul ne peut être juge et partie,
- et de la constitution préambule, DDHC ,art 15 : nul possesseur de pouvoir public n’est impunissable.

L’ironie est que cette profession se présente comme la « référence morale absolue » de la société, tout en s’assurant une impunité absolue de ses magouilles,.

Ce qui en fait la plus magouilleuse : la plus immorale de nos administrations.

Et , prétendant « garantir » nos Droits Fondamentaux, celle qui les viole le plus.
Déjà dès son organisation d’impunité.

On peut donc affirmer qu’il y a dix pour cent d’« indélicats psychotiques » parmi nos juges, y compris d’instruction, ayant d’avance garantie d’impunité absolue, et capables de nuire sans limites, en parfaite violation de nos Droits Fondamentaux qu’ils sont censés nous garantir.

On ne peut pas grand-chose à la stat’.
Mais on peut leur interdire de nuire en sanctionnant les "indélicats".

Le problème gravissime de « la justice » est qu’à côté de ces dix pour cent d’« indélicats psychotiques à façades parfaitement honorables, il y a 90% de juges « honnêtes » qui, à l’occasion n’hésitent pas à utiliser les mêmes méthodes pour « arranger » leurs affaires.
Et qui, surtout, « indélicats » complices, corporatisme solidaire, refusent absolument de corriger les magouilles de leurs copains.

La question est : est ce que la profession toute entière, acteurs et complices, est composée d’« indélicats » ?

Que deux merdeux de flics, habitués parmi des milliers d’autres, à tabasser en toute impunité, se soient faits pincer, servira peut-être de leçon à la profession toute entière.
A condition qu’ils soient virés.
Et non, comme d’habitude, protégés par des sanctions fictives.

Mais il y a quelque chose plus grave encore qu’un tabassage temporaire : l’envoi de 13 innocents en taule pendant 3 ans.
Et le petit juge Burgaud, qui a « un peu arrangé » les dossiers, un peu « suggéré » les faux témoignages, n’en a été « sanctionné » que par promotions et primes.

On n’est pas près d’avoir une justice honnête, intelligente, rigoureuse, adaptée à nos besoins de justiciables.

Comment la population doit-elle sanctionner les juges qui « arrangent leurs affaires » jusqu’à considérer que l’envoi en taule d’innocents reconnus pour « éviter les troubles publics », ou pour « montrer qu’on travaille », est une manœuvre légitime sans importance ?

abc
Posté le 17/10/2008 à 09:28
Il s’indigne d’avoir fait l’objet d’enquêtes des RG sur sa vie privée ?
En tant que ministre, à fortiori ministre de l’intérieur, puis président de la république, il ne savait pas que le rôle des RG et justement de faire ce genre d’enquêtes au profit de gens au pouvoir ? Il n’a jamais, lui, en tant que ministre ou président, demandé ce genre d’enquêtes sur ses ennemis et amis politiques ?
Bien entendu il n’a jamais entendu parler de « blancs » : de rapports confidentiels non signés non officiels ?

Il même préparé une loi, refusée de justesse, pour ficher les préférences sexuelles et religieuses : ça n’est pas de la vie privée, ça ?

Probablement le fait qu’il allait devenir président devait le dispenser du sort commun des Français : de voir n’importe quel petit fonctionnaire poussé par n’importe quelle lubie de sortir des rapports, vrais ou faux, afin de nuire ?

Le seul vrai problème posé par ces fichiers secrets est que les intéressés n’ont pas droit de connaissance, de contrôle, de rectification sur eux, ne savent même pas qu’ils existent.
Et que n’importe quel merdeux ayant pouvoir peut nuire gravement en toute impunité garantie d’avance : la Stasi et du KGB n’ont rien appris à personne : Vous voyez une différence avec la « démocratie » France ?

Les enquêtes occultes au profit des copains-coquins, les fichiers RG, et les « blancs », ont encore de beaux avenirs devant eux.

abc
Posté le 12/09/2008 à 20:46
L’impunité signifie que les fautes professionnelles ne sont pas recadrées. Elles recommencent donc indéfiniment. Mais, chez les "impunis d’avance", il apparait évidemment l’idée que les « approximatismes » permettent des « possibilités ». En facilitations quotidiennes, et en « arrangements des affaires de copains » : l’impunité statutaire conduit immanquablement à un système incompétent, inadapté. Mais surtout magouilleur, immoral.

L’incompétence et l’inintelligence de « notre » « justice » sont évidentes sur deux constatations :
1°On n’a jamais autant puni : les prisons débordent.
2°Il y a un taux de récidive de 75% chez les prisonniers de moins de 25 ans.
Il semble que même leur punition suprême : leur prison, ne soit pas trop intelligente.

Il suffit de peu de sens de l’observation pour comprendre ce ratage parfait de « nos » juges.

L’immense majorité des délits, même d’auteurs connus, sont impunis : 80% des plaintes au procureur vont directement au panier. Or on ne peut pas considérer que 80% des plaintes des Citoyens sont farfelues : il y a refus net d’appliquer la loi. Et sentiment d’absolue impunité des impliqués. Qui n’ont aucune raison de ne pas recommencer indéfiniment.

L’impunité des mineurs délinquants accentue le sentiment d’impunité, multiplie les récidivistes : Un gamin interpellé 118 fois sans la moindre sanction est définitivement une graine de criminel. Il y a une faute commise systématiquement par le système : refuser la sanction automatique dès la première infraction : la tolérance zéro. Il faut être un naïf absolu pour prétendre qu’un ado de 13 ans ne sait pas la différence entre le bien et le mal. L'"âge de raison" est dit à sept ans.

Les délinquants et les criminels attendent leur procès durant des mois ou des années. Pendant lesquelles ils sont parfaitement impunis, sans relation directe immédiate d’une éventuelle punition tardive avec leurs viols des législations. Or quantité d’affaires pourraient être jugées en comparution directe, avec sanction immédiate. Un chien qui pisse au mauvais endroit doit être sanctionné sur le champ. Il ne sert à rien de le punir plus tard : il n’y a pas de relation directe. Il en est de même avec les hommes.

Les sanctions sont aléatoires : on ne sait jamais d’avance ce que coutera le crime, si éventuellement pris. Apportant l’assurance que, même pris, et avec un bon « menteur », on peut s’en sortir à moindre coût. Cela s’appelle, en psychologie, le syndrome d’invulnérabilité. C’est le même qui fait le taux de mortalité sur nos routes : l’accident pour les autres, ce qui autorise les délits.
La dissuasion, c’est la sanction automatique, garantie, de tarif connu à l’avance. Mais lorsque la loi dit : pour tel délit, de tant minimum à tant maximum, on constate que la sanction n’est presque jamais le minimum légal. Il est ridicule d’entendre régulièrement que tel individu « risque tant d’années de prison », qui ne sont en réalité jamais données.

Un tiers des peines de prison ne sont jamais effectuées. Or il y a pire que de ne pas punir. C’est de donner une punition fictive non appliquée : la reine de l’impunité.

Les systèmes de « confusion de peines », et « remise de peine » qui devaient amener la tranquillité des prisons et la sécurité des gardiens, participent pleinement au sentiment qu’on n’a pas payé cher. Et qu’on a finalement bien baisé « la justice ». Ce qui est effectivement le cas.

Pour éviter que les détenus aient un sentiment de n’avoir plus rien à perdre ,et deviennent donc dangereux pour leurs gardiens, on a supprimé de fait la « vraie perpète ». Alors qu’elle est dans notre législation. Au cout de quelques dizaines d’assassinats d’innocents chaque année. Qu’on pourrait facilement éviter.

Mais même en taule, les règles élémentaires de la législation et du bon sens ne sont pas respectées.
Des prisonniers qui refusent de réintégrer leurs cellules, qui brulent leurs matelas, qui cassent les vitres, qui injurient les gardiens… ne sont pas sanctionnés, ni obligés de payer les dégâts. Par refus des juges. Pourquoi les détenus se priveraient-ils de leurs mouvements d’humeur et de leurs défis à l’autorité? Or ils ont tous un pécule conservé par l’administration pour « cantiner ». Si la taule n’est pas l’endroit où on apprend la responsabilité de ses actes, où apprendront les criminels ? Il est pourtant simple d’instituer un règlement disciplinaire impliquant, sans aucune participation des juges, que tel délit sera automatiquement payé de tant de jours de taule de plus, que les dégâts seront remboursés, éventuellement collectivement en cas de non détermination de l’auteur…

La drogue, le pognon et les instructions circulent librement dans nos geôles. Mais les visiteurs et les visiteuses sont en contact direct avec les prisonniers. Les gens pourraient se voir à travers des vitres blindées, et se parler au travers de téléphones ?

Déjà, on n’avait pas compris que mélanger des criminels confirmés avec des délinquants primaires permettait les copinages, l’apprentissage de la criminalité, et la facilitation des bandes.
Mais pire encore : Pour faciliter la vie des administratifs, notamment les déplacements des assistantes sociales, les prisonniers sont regroupés par départements : On fabrique des carnets d’adresse de gens vivant sur le même territoire, facilitant encore un peu plus la création de bandes.

Il est interdit de dire que 70% des prisonniers sont d’origine magrébine. Et on concentre les prisonniers par origines ethniques et religions. Histoire de faciliter les fabrications de bandes ?

On vient de "découvrir" qu’on met ensemble des activistes terroristes et des délinquants ordinaires, ce qui permet des recrutements islamistes : l’inintelligence de ne pas y avoir pensé plus tôt semble assez délirante.

La conclusion est assez simple : nos délinquants et nos criminels prennent les juges pour des cons inoffensifs.
La question est de savoir si l’idée est pertinente.

Le pouvoir incontrôlé et impuni rend con : il n’y a pas à en sortir : On me demanderait de fabriquer une clientèle délinquante afin d’assurer le développement exponentiel de la criminalité et de « la justice », je ne raterais aucune de ces recettes en cours.

Le drame est que nos juges ne sont même pas assez intelligents pour avoir un tel objectif : ils croient sincèrement œuvrer pour la sécurité de la société.
Sans vouloir comprendre les causes de ce ratage parfait : leur impunité à leurs fautes et « arrangements » : Leur approximatisme technique et moral.

Le petit juge Burgaud, dont on a vu l’extrême professionnalisme, s’en est sorti avec promotions et primes. Ainsi que les 64 magistrats qui ont eu le dossier entre les mains.
Nos tribunaux ne sont pas près d’être inemployés, et nos prisons, vidées.

abc
Posté le 11/10/2008 à 19:20
Un innocent ayant avoué un assassinat qu’il n’avait pas commis, qui a été condamné à 18 ans de prison, vient d’être libéré. Le véritable coupable s’étant dénoncé lui-même : dépitée, montrée incompétente, magouilleuse, la « justice » n’est pour rien dans le rétablissement des faits.

Nous sommes un pays dans lequel un innocent peut être amené à avouer un assassinat qu’il n’a pas commis, et en être condamné.
Le moins qu’on puisse en dire est que « notre » « justice » est « approximative ».

Le concept de base, de « intime conviction » est à l’opposé du concept de « preuves » :
L’une est une approche subjective, à l’opposé de l’exigence scientifique.
On peut se demander pourquoi ?

La raison est évidente : Que ce soit pour condamner à coup sûr ou étouffer une affaire de coquins-copains, la « justice » veut pouvoir « reconstruire » des « vérités juridiques » n’ayant souvent pas grand-chose avec la vérité des faits.

Preuves :

Refus du polygraphe :

N’importe quel innocent peut prouver sans ambigüité son innocence en passant sous détecteur de mensonges. Le polygraphe est suffisamment sûr pour que le FBI et la CIA y soumettent leurs agents, à l’embauche et périodiquement.
On peut se demander pourquoi une « justice » refuse aux innocents le moyen imparable de prouver leur innocence ? Il faut être d’une « malhonnêteté sans limites » (euphémisme) pour leur refuser cette possibilité ?

Dans l’enquête courante, l’emploi du détecteur de mensonges permet de savoir instantanément si les interrogés, témoins ou soupçonnés, disent la vérité. C’est donc aussi un moyen extraordinaire pour raccourcir les enquêtes, cerner au plus près les vérités. Il faut être d’une incompétence professionnelle exceptionnelle pour se refuser un tel moyen de se faciliter la recherche des faits réels. Il y a là, au moins, comportement paradoxal.

Tout « comportement paradoxal » recouvre des objectifs cachés inavouables. Inavouables parce qu’opposés aux objectifs officiels : Il est évident que le recours au polygraphe imposant la vérité des faits interdit la « création de dossiers juridiques cohérents » plus ou moins fictifs. Que ce soit pour condamner ou pour absoudre.
L’utilisation du polygraphe interdisait au petit juge d’Outreau d’envoyer 13 innocents en taule, et de détruire quelques dizaines de vies. Dont probablement, un mort.

Refus des enregistrements.

Entre interrogatoires de police et auditions devant le juge d’instruction, un innocent a fini par avouer un assassinat qu’il n’avait pas commis. On peut se demander quelles furent les moyens utilisés pour obtenir ce résultat : on ne doit pas être loin de la torture mentale.

La justice est rendue publiquement, « portes ouvertes ». Il n’y a donc rien de secret dans les procès.
On peut se demander pourquoi il est interdit de les enregistrer ? Voire interdit de les diffuser ?
On peut constater que les procès correctionnels font l’objet de synthèses rédigées par une greffière. Rédactions largement édulcorées, et qui peuvent être très largement modifiées par la suite. Ce qu’on sait moins, c’est que les comptes rendus d’assises sont ensuite re-rédigés « simplifiés » : manipulés.

Enfin, les débats des jurés sont secrets. Le mélange des trois vieux chevaux de retour références juridiques manipulant neufs amateurs totalement ignares en matière de juridisme, amateurs soigneusement sélectionnés sur leur inaptitude à contester, et amateurs interdits de consulter le dossier, ce qui est tout de même un comble caricatural… permet toutes les « approximations » : sur la vérité des faits, et sur des condamnations systématiquement prédites d’avance : imposées. Là encore, rien n’interdirait d’enregistrer les débats, quitte à ce qu’ils soient réservés aux juges des cours de cassation.

Le comportement paradoxal de l’ensemble de l’administration judiciaire de refuser les enregistrements impératifs et complets de ce qu’ils font, montre que ces fonctionnaires de justice ont des choses à cacher sur la manière dont ils mènent enquêtes, instructions, procès, comptes rendus.

Refus de condamner les faux témoignages.

Aux États Unis, qui ne sont pas vraiment une dictature, le faux témoignage est considéré comme un crime, condamné comme tel.
A juste titre : on ne peut juger équitablement sur des faux témoignages. Un mensonge sur une énorme histoire de touche pipi a failli couter sa présidence à Clinton : On en rêve en France !!!

Dans « notre » « justice », pour faire condamner un faux témoignage, il faut prouver qu’il a eu comme conséquence de modifier le jugement. Comme les délibérés sont secrets et en « intime conviction », c’est une preuve impossible à produire. En conséquence, il n’y a jamais de condamnation pour faux témoignages : même établis, ostensibles, ils sont d’avance impunis.
Dans un système prétendu rechercher la vérité des faits, il y a là pour le moins paradoxe.

La raison en est évidente : de la "suggestion "de l’enquêteur « arrangeant » les dires, aux "suggestions" du juge d’instruction, aux "suggestions" de la cour en assises, …les faux témoignages allant dans le sens voulu : condamnation ou innocentement, sont systématiquement encouragés, dictés.

Là encore on retrouve la volonté de rédiger une « vérité juridique » n’ayant parfois pas grand chose à voir avec la vérité des faits.
Le refus de condamner les faux témoignages en tant que tels est au détriment des faits et des personnes visées.

Sur ces trois éléments : refus des polygraphes, refus des enregistrements systématiques, refus de condamner les faux témoignages,
…ajoutés aux concepts de base de l’intime conviction sans preuves, de la religion de l’aveu…
…tout est structuré dans cette prétendue « justice » pour « approximativer » les affaires sensibles (ayant influence sur les promotions du magistrats). Ou pour « approximativer » les affaires courantes sans trop se fatiguer à chercher des preuves.

Structurée, notamment en impunités absolues, pour « arranger les dossiers », « notre » « justice » est la plus magouilleuse, la plus immorale, de nos administrations.

Ne nous étonnons pas que la bavure y soit habituelle.

abc
Posté le 13/10/2008 à 20:46
En taule sans preuve

Mme Van Kempen vient de bénéficier d’un non lieu, parce que « rien » ne permet de l’incriminer dans l’assassinat de sa nièce.

Or la dame avait été en « détention préventive » pendant trois mois :

On ne peut mieux prouver que « la justice envoie en taule » sur des critères qui n’ont rien d’objectif.
En particulier, sans le moindre début de preuve de culpabilité.

N’importe quel innocent peut être envoyé en taule, même innocent, sur simple fantaisie d’un petit fonctionnaire, qui en sera impuni d’avance.

Elle de la chance qu’il n’y ait vraiment rien dans le dossier, pas le moindre soupçon : normalement elle aurait dû être condamnée au moindre prétexte. Juste pour justifier la taule déjà faite.

Mais elle peut toujours courir pour obtenir réparation des préjudices subis par la faute de la justice : elle sera coupable qu’on n’a pas pu coincer.
Or elle est légalement innocente. Et a subi préjudices majeurs.

Où sont nos « Droits Fondamentaux », dont le droit à la liberté, que « nos » juges prétendent nous garantir ?
Où est le concept que « nul n’a le droit de nuire » quand un juge nuit ?

Nous sommes dans une pure et simple dictature.
Comment sanctionner les juges qui violent nos droits fondamentaux ?

Un individu a été condamné à taule pour avoir prétendument violé une jeune fille de treize ans.
Celle-ci vient de se rétracter au bout de quelques six ou sept années.
La « justice » refuse de suspendre la peine du condamné.

On se demande sur quels critères elle a condamné lourdement quelqu’un qui se disait innocent, et sans preuves, sur les seules déclarations d’une petite garce.
On se demande à nouveau pourquoi elle ne croit plus cette garce quand elle se rétracte ?

La réponse est évidente : Les bavures de la « justice » s’accumulant en ce moment, d’innocents condamnés à lourdes peines, cette prétendue « justice » essaie désespérément de préserver son honorabilité en refusant de reconnaitre ses erreurs.
Qu’un innocent soit en taule et voit sa vie détruite par pure incompétence des juges n’a aucune importance pour ces gens sans honneur.

Petits garçons et messieurs, éviterzde refuser un bonbon exigé par les petites filles : Il leur suffit de vous accuser d'attouchements sexuels ou de viol ,pour vous retrouver en taule pour longtemps.

abc
Posté le 13/10/2008 à 20:43
Mme Van Kempen vient de bénéficier d’un non lieu, parce que « rien » ne permet de l’incriminer dans l’assassinat de sa nièce.

Or la dame avait été en « détention préventive » pendant trois mois :

On ne peut mieux prouver que « la justice envoie en taule » sur des critères qui n’ont rien d’objectif.
En particulier, sans le moindre début de preuve de culpabilité.

N’importe quel innocent peut être envoyé en taule, même innocent, sur simple fantaisie d’un petit fonctionnaire, qui en sera impuni d’avance.

Elle de la chance qu’il n’y ait vraiment rien dans le dossier, pas le moindre soupçon : normalement elle aurait dû être condamnée au moindre prétexte. Juste pour justifier la taule déjà faite.

Mais elle peut toujours courir pour obtenir réparation des préjudices subis par la faute de la justice : elle sera coupable qu’on n’a pas pu coincer.
Or elle est légalement innocente. Et a subi préjudices majeurs.

Où sont nos « Droits Fondamentaux », dont le droit à la liberté, que « nos » juges prétendent nous garantir ?
Où est le concept que « nul n’a le droit de nuire » quand un juge nuit ?

Nous sommes dans une pure et simple dictature.
Comment sanctionner les juges qui violent nos droits fondamentaux ?

abc à Pierre B
Posté le 19/07/2008 à 10:20
Tu oublies qu'aucun "doyen des juges d'instruction" n'ouvrira quoi que ce soit sans l'aval du procureur.
Il ne peut instruire que dans les limites autorisées par le procureur.

L'astuce d'un juge d'instruction qui va au-delà, est de faire deux comptes rendus : celui sur le domaine autorisé, et celui qui overchute. De façon à ce que si celui qui est illégal est annulé pour faute de procédure, l'autre reste en vigueur : la totalité de la procédure n'est pas annulée.

Une plainte en faux témoignage ne peut légalement aboutir que « si on peut prouver elle a eu un impact sur la décision judiciaire ». Inutile de te dire que les condamnations pour faux témoignage sont inexistantes.

Aux USA, un faux témoignage sur une affaire aussi importante que les jeux de touche-pipi de Clinton a failli lui couter la présidence : le mensonge en justice est un crime. A juste titre.

En France, les juges ont besoin des faux témoignages qui vont dans le sens souhaité. Ils n’hésitent pas à les inciter, à les provoquer, à les suggérer. La victime n’y a donc aucun recours




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