est un site indépendant de toute organisation pouvant porter le nom de “realjustice.

“Celui qui n’est pas révolté par l’injustice n’est pas un Homme”

Site perso - auteur : Alain Vialette . But : montrer et démontrer les utilisations du dictat* judiciaire à des fins d’intérêts privés, volonté criminelle des clubs de “notables”; ainsi que les dérapages dûs à l’incompétence et à la simple bêtise, au corporatisme.

Le but de l’expertise psy était visiblement de me décrédibiliser totalement, en plus de l’assassinat civil et social. (Après une tentative d’assassinat physique [“accident”], assassinat financier [oeuvre gratuite de Zemerli], etc.; il n’y a vraiment pas de quoi s’étonner....)

De cette manière, tous les faits criminels maquillés ou étouffés que j’ai dénoncés aux ministères, préfecture, médias, (dans les Landes, à l’époque où Gérard Zemerli était président du TGI de Mont de Marsan) seraient devenus inexistants, imaginaires, affabulations....

Il faut dire que ç’aurait aussi fait les affaires des collabos qui se seraient trouvés, de fait, exonérés de leurs actes.
Dans l’affaire d’Auvergne, plus de faux témoignage, plus de faux bail.

On peut même penser que l’affaire “du Bois-Grand” a été préméditée : sinon quel aurait été l’intérêt de Douix à installer des kilomètres de clôtures
(matériel et travail) en sachant pertinemment que ce ne serait pas toléré. (Les clôtures se prolongent jusque de l’autre côté de la colline, encerclant aussi le bois de ma tante [personne hors d’état de donner quelque autorisation que ce soit depuis 2002. Le tuteur, informé par lettre rec. AR n’a pas réagi].)

Impunité garantie (ayant eu vent de mon différend avec Zemerli) et absence totale de scrupule; appâté, chaque hectare acquis étant synonyme de primes agricoles supplémentaires, l’animal n’a pas hésité à passer à l’acte. (Au total, c’est près de 40 hectares qui ont été encerclés.)

Pratiquement personne à Montgon ne pouvait ignorer que je m’escrimais à sortir le bois tombé (tempête 99) sans détériorer le milieu naturel... et que je n’allais donc pas laisser mettre des fils de fer avec des pitons vissés dans les arbres et accepter l’anéantissement du biotope par un troupeau de bovins.


A propos de ce qu’ils (les malfrats et les autorités locales qui les protègent) essaient de faire croire :

- Que mon refus de me soumettre à l’expertise psy serait comparable à un refus d’alcotest (qui équivaut à une reconnaissance implicite du défaut recherché) : un test matériel ne peut être soupçonné de partialité, de collusion avec qui que ce soit.
Il s’agit d’une lamentable tromperie pour tenter de cacher une manoeuvre criminelle.

- Que mes démonstrations seraient fantaisistes et fruits de délire (selon le chef Boulon, commandant du groupement de brigades Blesle / Ste Florine. [Discussion du 8 Juillet 2010, avec témoin, environ 1 heure]).
A noter que, dans le cas de délire paranoïaque, les faits invoqués sont imaginaires, inexistants. Dans le cas présent, tous les faits désignés sont bien réels, concrets et vérifiables.
Le seul problème est qu’ils sont gênants pour certains; dont Gérard Zemerli, président du T.G.I. du Puy-en-Velay, coupable d’illégalités et visiblement d’abus d’influence.

Informé verbalement des faits, le chef Boulon a refusé de voir les documents officiels prouvant les illégalités, les atteintes au Droit commises par les magistrats; refusé de constater la réalité écrite noir sur blanc, signée des magistrats et estampillée des tribunaux.

“Ce n’est pas possible... si je vois des magistrats faire ça, je démissionne de la gendarmerie” a-t-il précisé.
(S’il est de parole
[parole de militaire], soit il a démissionné, soit il s’est crevé les yeux !)

> La réaction du brigadier est tout de même une reconnaissance de la gravité des faits.

Si, comme il se permet ignominieusement de le prétendre, je “pensais mal”, si j’avais une vision fantaisiste et irréaliste des choses en général (comme dans le cas de délire); lorsque je conçois intellectuellement des constructions mécaniques somme toute assez compliquées (Brico-perso), elles seraient irréalisables ou ne fonctionneraient pas. Preuve en est que ce n’est pas le cas.

“Qui veut tuer son chien dit qu’il a la rage.” C’est tout de même inquiétant lorsque le fait émane de personnes investies de pouvoirs dans le cadre de sécurité publique.

Les “judicieux” (péjoratif bien sûr) font passer leurs petits arrangements crapuleux pour de la Justice....
Ceux qui ont conscience des valeurs de la Démocratie comprendront la gravité du fait.

Pour ce qui est des gendarmes, c’est “papa” (procureur) qui dicte; et certains, intéressés de terrain, font du zèle. Il en a toujours été ainsi (Vichy).

Alerte viaduc (Décembre 2010)

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Magistrats & flics ripoux

Droit de réponse (blog sur Deni de justice)

Denidejustice.wordpress.com

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Affaire du “BOIS-GRAND” Traces de bottes sur la déontologie !

Communes de GRENIER-MONTGON et de LUBILHAC, Hte-Loire (43).

Appropriation crapuleuse de terrains, avec installation illégale de clôtures dans le but de parquer un troupeau de bovins. (Constaté par huissier)
Tentative frauduleuse d’obtention de droits sur la propriété par le biais de faux témoignage : fausse attestation.

- Auteurs des faits : Serge DOUIX, agriculteur et marchand de vaches à Montgon (Grenier-Montgon 43).
- Complice, fausse attestation : Patrick FILIOL, retraité, à Montgon.

- Propriétaire des parcelles concernées faisant l’objet des recours judiciaires : Alain VIALETTE, Mano, Landes (40).
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Cette publication est destinée à informer sur la réalité des faits, les documents originaux sont disponibles pour qui voudrait vérifier leur authenticité. C’est aussi pour montrer que les façades officiellement imposées ne sont souvent que du fard pour cacher la merde.
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>> Le mémoire d’appel de l’ordonnance de non-lieu est un abrégé assez représentatif de l’affaire dans sa globalité, il démontre aussi le niveau de moralité des intéressés, y compris certains “acteurs de justice”. (à voir, c’est une reprise du texte de l’ordonnance de non-lieu avec démentis et commentaires.)
Merci au sieur Yves DUBUY, magistrat instructeur, d’avoir eu la lumineuse idée de lier l’affaire d’Auvergne à celle des Landes... Seul lien matériel réel : le président Gérard ZEMERLI.



Déroulement chronologique de l’affaire :

J’ai découvert la présence des clôtures ainsi que des traces de passages de bovins sur mes parcelles en Automne 2004,
elles n’y étaient pas au Printemps de cette même année. (
DOUIX prétend que ces clôtures auraient été installées en 2003.)
A cette occasion, j’ai aussi constaté la présence de clôtures identiques dans les parcelles boisées voisines qui appartiennent respectivement à ma tante Augustine CURABET, à ma cousine Irène LAURICHESSE, et à
Patrick FILIOL de Montgon.

J’ai tout d’abord demandé à l’intéressé de retirer ses clôtures, sans effet. J’ai ensuite demandé au maire, Jacques PERCHE d’intervenir, sans plus de résultat. Patrick FILIOL étant présent et dans la même situation que moi-même vis à vis de ces clôtures, nous sommes allé signaler les faits à la gendarmerie de BLESLE (une “main-courante” [extrait de compte-rendu de service] en atteste).

A la suite de cela, j’ai demandé à Me Reynaud, huissier de justice, de venir constater les faits sur mes parcelles (constat du
4 Mai 2005).
Patrick FILIOL, quant à lui, n’a pas fait d’autre démarche. Ma cousine a refusé de s’engager contre DOUIX (craintes), ma tante ayant été victime d’un accident vasculaire cérébral en 2002 était hors d’état de faire valoir ses droits.

Le dossier a été transmis à mon assurance protection juridique qui a énormément fait traîner les choses malgré les preuves matérielles, l’absence totale de justification concrète de DOUIX, ainsi que ses mensonges flagrants (visible dans les courriers).
Finalement un avocat a été désigné, Me Gras, qui a engagé une procédure en référé (assignation le 2 Mai 2006).

Comme chacun le sait (ou pas), les référés sont traités par le président du tribunal.
Il s’est trouvé que
le président du TGI du Puy, Gérard ZEMERLI, était celui-là même qui est à l’origine de très graves déviances dans une affaire me concernant. Il était à l’époque (1994) président du TGI de Mont-de-Marsan.

Les reports d’audience sans aucune justification se sont multipliés pendant un an et demi !
(Alors que le référé est une demande de mesure d’urgence.)
Mon avocat d’assurance ne faisant pas valoir mes arguments et ne réagissant pas aux faux avancés par la partie adverse, j’ai décidé de m’en séparer et de poursuivre seul.
Habitant à 500 km du tribunal, il ne m’était bien entendu pas possible de faire ces déplacements pratiquement tous les mois, juste pour amuser le magistrat.
C’est ainsi que
le motif de radiation (absent à l’audience) de l’affaire a été volontairement provoqué
par le président Gérard ZEMERLI
. Le référé n’a donc pas été jugé.

Au cours de l’une de ces audiences, le président et l’avocat adverse ont essayé de me faire accepter un accord amiable : ils voulaient que je signe un renoncement à toute poursuite judiciaire moyennant un dédommagement dérisoire.
Le
président ZEMERLI a cru bon de préciser que “si je m’entêtais dans ma position, je me perdrais en démarches, déplacements, frais, etc.; et que ça durerait éternellement ainsi”.
*

A la suite de cela, j’ai déposé plainte avec constitution de Partie Civile auprès du doyen des juges d’instruction.
- Contre Serge Douix pour sa tentative frauduleuse de s’approprier des droits sur ma propriété par le biais d’un faux témoignage.
- Contre Patrick Filiol pour faux témoignage.
J’ai dû m’y reprendre à deux fois : le premier dépôt de plainte ayant été rejeté par le juge au motif que la décision du procureur n’était pas encore intervenue... Ce qui était faux : le “classement sans suite” était joint en annexe.

J’ai donc re-déposé plainte pour les mêmes motifs. Le juge a demandé 5000 euros de caution. Bénéficiant de l’AJ, j’ai été dispensé du paiement.

Le juge a blanchi d’entrée les deux malfrats, avant même la moindre investigation : il a redéfini la plainte en l’orientant
contre “X”, ceci
de façon totalement arbitraire.
Le travail d’instruction n’a consisté qu’à essayer d’inverser les rôles et à me discréditer....
Alors que je suis le plaignant dans cette affaire.

Le fait que j’ai eu un très grave différend avec le président du tribunal n’est certainement pas étranger
à ce comportement aberrant. La démarche des autorités judiciaires est la même
que dans l’affaire des Landes : occulter les faits et inverser les rôles.

Quand les décideurs officiels sont au service des mafias criminelles, les droits les plus élémentaires
ne sont plus respectés, les malfrats sont assurés d’impunité.

>> Les “à-côté”: points de vue personnels sur des affaires médiatisées (vrai/faux - juste/injuste)

>> Nouvelle signalisation routière : chasse aux renard & blaireaux ? (En marge de l’élection du “cantonnier” de Blesle [43])

En bref : l’entourloupe digne de mafia est démontrée de façon flagrante par le fait que le faux témoignage est indiscutablement prouvé par la “main-courante”;

et que les magistrats d’appel ne justifient pas le non-lieu par les arguments adverses loufoques*, mais notent dans l’arrêt que le fait “peut trouver une autre explication”... sans préciser laquelle ! (Souligné en rouge, page 4 du doc.)


* Selon les parties adverses, ce serait moi-même qui aurait tout organisé dans “un unique but de chicane” !!! (page 3)

>> Douixries 2013

>> Index des pages (nouvelles pages : flèches rouges)

>> Viaduc - état des lieux 2012

>> Quelques précisions au sujet des affaires judiciaires me concernant.

« Le monde est dangereux à vivre ! non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.» ALBERT EINSTEIN.

>> Victor Hugo (citation)