Les “occultes réseaux mafieux d’influence”

Les procs et J.I. se gardent bien d’enquêter sur ces actes délictueux et souvent criminels; non seulement ils ne font pas leur travail
de Justice, mais ils s’en font complices (il en est même d’assez crapules pour faire du zèle dans cette complicité). Il est beaucoup plus facile et moins risqué pour eux de prétendre que ces réseaux n’auraient d’existence que dans des imaginations paranoïdes.

Pour exemple : les dérapages du magistrat FM Jean-Paul Renard (article Wikipédia)

Enormément de magistrats sont francs-maçons
(c’est un peu normal : les individus qui sont submergés par l’instinct basique de domination s’investissent dans les moyens d’acquérir du pouvoir sur les autres); leurs deux serments, celui d’entrée dans la FM et celui de magistrat, s’opposent radicalement.
Lorsqu’elle était garde des sceaux, Élisabeth Guigou a tenté de “faire passer la pilule” en disant
(publiquement) “que la vie privée des magistrats ne regardait personne....”. Sauf que leurs activités privées influent fortement sur leur comportement professionnel, tellement que c’est une question d’ordre public.

Lire
(entre autres) : Sophie Coignard “Un état dans l'état” (Albin Michel); Christian Cotten “Mafia ou Démocratie”.

- Il est à peu près certain que les FM (il y a de multiples branches plus ou moins déviantes) se sont constitué des banques de données en tous genres, dont le fichage individuel et sur les postes-clés utilisables, à faire baver les limiers de la CIA.

Les “branches déviantes” sont des associations de malfaiteurs qui se sont constituées comme parties intégrantes de la franc-maçonnerie avec ses rites et coutumes. Leur but est d’utiliser le crédit d’honorabilité, d’excellence et d’intégrité morale, dont jouit encore la confrérie auprès de la population (qui les a toujours considérés comme des élites), à des fins malhonnêtes de profit et de pouvoir.
Chacun peut constater que les politiques, magistrats, avocats, policiers, gendarmes et autres acteurs de “justice”, ainsi que
les arrivistes de tous poils de la FM d’aujourd’hui
n’ont absolument aucun point commun avec les maîtres d’art qui constituaient originellement l’historique honorable confrérie. Il s’agit juste de masques, d’apparences sciemment fabriquées pour tromper.

Mais les “new FM” ne sont pas les seuls à user et pratiquer ces services crapuleux; ils sont en interaction avec les clans politiques, les clubs de “notables” (dont beaucoup font partie) et autres communautés sectaires. Ce sont des comportements de régimes totalitaires, des métastases qui disséminent leurs toxiques, agglomèrent les plus viles crapules de la société... et les font passer pour des élites : médailles et titres... z’en voulez ?.. n’en voilà !... Mais ce n’est pas gratuit, vous êtes redevables, faut
jouer le jeu.

Ceux qui se trouveraient un peu gênés sur le plan de la conscience et voudraient en sortir ne s’y risquent pas, ils savent ce qui
les attendrait : les “bâtons dans les roues” à tous les niveaux et de tous les côtés, vu que les “frères” sont partout... et de façon envahissante dans la corporation judiciaire.
(Il faut préciser que les plus primitifs considèrent la “conscience” comme un boulet qui freine inutilement dans la course aux profits... Ces individus-là sont trop peu évolués sur le plan mental
[ce qui n’empêche en rien l’accès aux postes de responsabilités] pour comprendre que la conscience humaine est un garde-fou contre la dégénérescence de l’espèce, contre son plongeon dans l’horreur abyssale.)

Certains se disent que ce n’est pas possible, qu’ils ne peuvent pas se connaître tous....
Mais ce n’est pas comme cela que ça marche, ils n’ont pas besoin de se connaître, il suffit de faire appel à la “base” (l’informatique facilite grandement les choses) : quand un “frère” est “en danger”, tous les autres ont devoir de le “secourir”, il suffit d’un signe de sa part.... Sauf qu’il s’agit la plupart du temps de cacher ses fautes quelle que soit leur gravité, donc de se faire complices au détriment des victimes.
Avant l’informatique, les magistrats FM avaient un codage à base de petites “étoiles” disposées de façon particulière selon les cas, et qui servaient à séparer des paragraphes ou encadrer des passages dans les documents officiels. D’autres signes particuliers étaient aussi utilisés. Ces faits commençant à être connus et ayant entraîné des réactions virulentes, il semble qu’ils se fassent maintenant un peu plus discrets sur ce plan-là.
Tous ces systèmes socio-pathologiques sont aussi utilisés au profit des parents et amis qui, eux, ne sont pas FM... ainsi que des amis des amis et parents des amis... et amis des parents, etc..

C’est une sous-France qui ne peut exister que parce que la très large majorité des citoyens qui connaissent les faits crèvent de trouille, se taisent et ferment les yeux.


C’est en France et un peu partout dans le monde, principalement dans les pays prétendus “évolués”... et au vingt-et-unième
siècle !

Source image : Wikipédia

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Edifiant :

(à voir sur le site de Jean-François Copé “jugedinstruction.fr”)

REVOLTE!!
- 21 Jan. 2010, 23:32

Les parlementaires sont directement responsables des dérives judiciaires. En effet, Outreau a rappelé que les parlementaires et le Gouvernement ont pour obligation le contrôle de l'institution judiciaire. Or les parlementaires et le Gouvernement régulièrement alertés ne font pas ce pour quoi ils sont payés.

Les parlementaires, tous faux-culs, bernent les justiciables en les renvoyant vers des voies de recours inopérantes, comme l'affaire d'Outreau l'a montré.
Enfin les parlementaires et le Gouvernement rançonnent les contribuables pour le paiement des indemnisations en réparation des délires des juges (plusieurs millions d'euros rien que pour outreau), alors que le Gouvernement a le devoir d'exercer son action récursoire pour faire payer les magistrats fautifs.
Outreau c'est quatre-vingt quatre magistrats incompétents à virer !
Les politiques, tous aussi magouilleurs, n'ont qu'une obsession à savoir : "renforcer les droits de leur défense" pour se protéger des poursuites judiciaires.

REVOLTE!!
- 21 Jan. 2010, 23:26

JUGES-PUTES ou JUGES-LARBINS ?
A l'origine de la décadence du système judiciaire, la corruption organisée et généralisée de la profession, une servilité fangeuse qui se nourrit de toutes les compromissions, l'omniprésente veulerie propre à tous les paumés, le tout verrouillé par un corporatisme mafieux qui génère des jurisprudences mortifères.
Force est de constater que la profession de magistrats attire les inadaptés, les caractériels, les psychopathes, les détraqués sexuels, qui tous recherchent le plaisir sadique de manipuler, de dominer, d’enfreindre impunément la loi. Le pouvoir judiciaire leur offre le cadre idéal pour assouvir leurs vices en toute sécurité.

A-t-on jamais vu un juge dénoncer un collègue pédophile ? A-t-on jamais vu un juge partir en guerre contre les pratiques mafieuses de ses confrères francs-maçons ? A-t-on jamais vu un juge reconnaître que des citoyens sont victimes de décisions intolérables, contraires à la loi ?

Non ! Leur devise est « tous solidaires » avec comme leitmotiv qu’une décision de justice ne se conteste que par les voies de recours, tout en sachant que les voies de recours sont totalement inopérantes puisque le même système de corruption y sévit et que le corporatisme interdit toute mise en cause d’un confrère. L’affaire dite d’Outreau, c’est 84 magistrats incompétents qui ont statué sur les voies de recours !

On constate aussi que « juger » est devenu une « entreprise familiale » : on se marie entre juges et on procrée des futurs petits juges ! Ainsi au corporatisme protecteur et à la confrérie servile franc-maçonnique viennent s’additionner des liens familiaux conservateurs au sein d’un système judiciaire dit « indépendant » !

« Justice de merde » pour certains, « Justice corrompue » pour d’autres, « Justice franc-maçonnique » pour les initiés, « Justice prostituée » pour les habitués !

Juges-putes, Juges-larbins, Juges-fossoyeurs, Juges-pronazis,... Au-delà de ces attributs peu flatteurs, force est de constater que les multiples trahisons des juges sont autant d’atteintes subversives aux règles fondamentales qui régissent la vie en société. Leurs "décisions" intolérables, destructrices de vie, de liens familiaux et d’emplois, grèvent lourdement l’avenir de ceux qu’elles détruisent et celui de la société toute entière. Elles sont une véritable plaie pour l’économie et l'avenir de notre pays !

>> http://www.mecanopolis.org/?p=20711