Viaduc suite.... Prise de parti délibérée au profit de malfaiteurs = face visible de la corruption.

Mars 2011.... Aussi surprenant que cela puisse paraître à toute personne ayant une perception réaliste des choses, les bottes de paille sont toujours en place contre les piles !

Le plus élémentaire principe de précaution est ignoré... le foyer potentiel de dégradation est toujours effectif !

Pratiquement tous les responsables (préfecture, mairie, DDE, etc.) avaient pourtant été avertis dès le mois de Novembre 2010....

Le risque de dégradation - d’un édifice d’intérêt public - (similaire aux voies de chemin de fer) est pourtant avéré et flagrant.
Peu importe qui est officiellement propriétaire de l’ouvrage, des milliers de personnes l’utilisent chaque jour dans le cadre de leurs activités quotidiennes.

De plus, chacun peut constater que
l’accès à l’intérieur des piles pour les services de maintenance est impossible : portes condamnées, obstruées par les bottes de paille.

Où est la raison de ce passe-droit (et des autres) curieusement octroyé à cet individu qui ne respecte rien ?

Chacun peut constater aussi, au vu de la photo ci-dessous, que ça ne prendrait que quelques minutes pour déplacer les bottes en question et les mettre avec les autres, vraiment à l’abri sous les bâches plastique, à une vingtaine de mètres de là.

Il n’y aurait donc aucun préjudice pour le fautif.
Cette idée porte tout de même à rire quand on pense qu’il s’agit de la sécurité d’un édifice d’intérêt public... et que des jeunes se trouvent parfois lourdement pénalisés pour de simples graffiti !

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- Sur les risques réels de dégradation...

Sauf si des tests grandeur nature ont été réalisés lors de la création de ce type d’ouvrage, celui qui prétendrait savoir exactement serait un fieffé menteur.

Selon les lois de base de la physique, le point de dégradation dépend essentiellement de la température dégagée, de la surface exposée et du temps d’exposition, de l’épaisseur et de la qualité du béton ainsi que des contraintes qu’il supporte.

Partant du principe que si un “petit malin
* ” décidait de passer à l’acte, il est clair qu’il ne s’escrimerait pas à faire prendre feu à la paille avec un briquet, mais qu’un jerrican de combustible l’aiderait grandement à parvenir à ses fins... et la donne sur plan de la physique serait déjà changée : le délai avant dégradation s’en trouverait considérablement raccourci.
Il est à noter qu’un simple jerrican de combustible sans la présence de la paille ou autre substitut serait parfaitement inefficace.

Donc, même sans utiliser des compositions dites “thermiques” capables de vitrifier le béton et fondre l’acier (bien trop ignares pour cela), s’il y a volonté de dégradation, le but peut être atteint en un minimum de temps.
D’autant plus que le béton des piles est soumis à de très importantes contraintes du fait du poids supporté.

Même si les piles ne s’en trouvaient que simplement noircies, il y aurait juridiquement dégradation d’édifice public et un coupable serait désigné.
L’irresponsabilité des autorités se trouve aussi dans la prise de risque inutile et inconsidéré à ce niveau-là. Cet état de fait autorise à se demander quelle peut bien être la raison... et même si ce ne serait pas volonté délibérée de leur part.


* Un “petit malin” qui serait vraiment très con, mais ne faut-il pas l’être pour larder des pneus ?

- Corruption et protection des malfrats....

Lorsque des malfrats sont utilisés par des représentants tordus des autorités officielles, ceux-ci sont obligés de les protéger de crainte qu’ils ne dévoilent leurs connivences. Bien entendu, les exécutants de terrain sont très peu crédibles face aux “honorables” fonctionnaires ou élus, mais ils sont susceptibles d’apporter des preuves incontournables.

Ce principe de base apparaît nettement dans les affaires de monstres amateurs de “chair fraîche” (individus très influents et intouchables dans l’état actuel de notre pseudo-démocratie) et de leurs collabos fournisseurs :
“protège-moi et je t’en Fourniret... et comme dirait un certain Emile, les crimes abominables, ce n’est pas Louis qui les a commis.”.
En désespoir de cause, les intéressés sont “suicidés” au grand désarroi des familles des victimes qui ne pourront jamais savoir ce qu’il s’est réellement passé.

Vidéos édifiantes sur la question

- Quant au rapprochement entre la présente affaire et les affaires monstrueuses : le principe de base est le même; et, lorsque la corruption est tolérée, il n’y a absolument aucune limite; le niveau de déviance ne dépend que de l’état psychiatrique des décideurs impliqués.


- Qui sont, individuellement, ces “responsables” IRRESPONSABLES qui prennent personnellement des libertés avec la sécurité des biens publics qu’ils ont pour mission de protéger ?

- Quelle sont les raisons si ce n’est la simple vile corruption ?

Photo : Mars 2011

Edifiant... Deux photos qui permettent de bien situer la psychologie de l’intéressé :

On est comme on naît, certains ne sont apparemment pas arrivés par le bon trou.

Après tout, ce n’est pas de leur faute; mais la moindre des choses serait tout de même que les représentants des autorités officielles aient au moins la dignité* de les empêcher de nuire.

(* Dignité d’Hommes et respect de leurs devoirs professionnels.)

Ce n’est que la partie visible de l’”iceberg”....

Mais certains semblent apprécier cet état d’esprit puisque, en toute connaissance de cause, ils soutiennent l’individu en question et votent même pour lui aux municipales.
Ceci malgré les multiples vols de bois, appropriations arbitraires de terrains, obstructions de chemins, dégradations (parfois volontaires) de bâtiments, etc., etc.... ainsi qu’utilisation de moyens crapuleux et même criminels pour tenter de se blanchir.
Il est clair que ceux-là (que l’honnêteté n’étouffe visiblement pas) ne cherchent qu’à maintenir la corruption dans l’espoir d’en tirer un bénéfice personnel; leur intellect étant trop limité pour avoir conscience du gâchis généralisé vers lequel ils se dirigent ce faisant.

Sur les lieux où des personnes ont disparu tragiquement, des humains viennent parfois se recueillir et déposer des fleurs....

Un Serge DOUIX, ça vient y déposer... sa merde !

Mars 2011

Mars 2011

- Mars 2011 - Après le faisan*, le renard et le blaireau >> La Gazette locale
(Dans le cadre de l’élection du “cantonnier” de Blesle.)

*
Au sens 2 des dicos : individu malhonnête.
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- 14 Avril 2011
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Le printemps est là... le viaduc a quitté ses bottes d’hiver....

Quelqu’un a tout de même fini par réagir et a fait dégager la paille, Douix a éloigné ses bottes des piles.

Ca ne peut être le maire Jacques Filiol, à moins qu’il n’y ait été contraint et forcé; il voyait les choses de sa fenêtre et n’était pas intervenu après le signalement du danger au mois de Novembre 2010.

Le matériel prend aussitôt la place des bottes... mais les immanquables éraflures du béton ne risquent pas de faire écrouler l’ouvage.

Il ne reste que la couleur et l’odeur.....

- A propos de notre “valeureux” maire Jacques Filiol : encore un coup d’étrille sans aucun doute bien mérité !

Détail du tableau d’affichage de Grenier (1 Mai 2011).
Il s’agit d’un montage de deux photos : j’avais “coupé le cochon” à la 1ère prise. Quand j’y suis retourné, le billet n’y était plus.

>> Etat des lieux en 2012 (miroir de l’état psychique de l’intéressé).