Le viaduc de La Violette (autoroute A 75)


Il risque d’avoir chaud avec ces bottes aux pieds ! . > > > > >

564 mètres de long, 75 mètres de haut, les piles sont creuses
et leurs parois sont relativement
minces (ce qui les rend vulnérables).

Deux faits récents sont à la base de ma démarche d’alerte; conjugués
avec le contexte général, ils la motivent sérieusement.

-
Les deux faits :

1) Un bruit court selon lequel “les bottes de paille vont cramer”.

Les bottes de paille en question se trouvent aux pieds du viaduc, elles
appartiennent à Serge Douix, marchand de vaches à Montgon (43450 Grenier-Montgon).

Témoignages indirects; bien entendu, personne ne veut affirmer quoi que ce soit, ni dire qui a dit quoi. On peut simplement en déduire qu’il est très probable que ça arrive.

2) Des pneus du matériel agricole appartenant au même individu ont été récemment lacérés.


(Quand cette photo a été prise, il y avait du matériel mais pas la paille)

- La motivation :

Des pneus crevés... comme c’est bizarre....
Étant, à ma connaissance, le principal adversaire de Douix dans le secteur, je me sens d’autant plus visé que je connais ces manière d’agir, j’en ai eu l’expérience dans les Landes : un hangar abritant tracteur et réserve de fioul appartenant au maire de l’époque a subitement brûlé. Coupable désigné : l’employé gênant de la commune. (Voir en milieu de page sur “Mano-story”.)

Compte tenu de la campagne orchestrée par la partie adverse, dont le cousin-germain-maire de la commune et le brigadier-chef-ami-du-fils-de-gendarme; campagne dont le but est de me discréditer totalement; les faits cités plus haut ne me paraissent pas dénués de sens.

Propos rapportés par la Cour d’appel (chambre de l’instruction) dans son arrêt du 21 Avril 2009 :
“(...); les enquêteurs mentionnaient que VIALETTE était connu comme procédurier, vivant en autarcie et reclus dans une caravane lorsqu’il venait sur sa propriété auvergnate.” Propos mensongers et diffamatoires. “Enquête” qui s’est résumée à l’audition du cousin-maire par le brigadier-chef (aucun autre habitant du village n’ayant été interrogé).

Selon eux (nos braves magistrats l’affichent complaisamment), je serais le SDF marginal asocial et paranoïaque, soupçonnable de tout.
Donc, directement soupçonnable de s’en être hargneusement pris au matériel de Douix par vengeance.

Le marginal devient donc un voyou-vandale très capable de ficher le feu aux bottes de paille.

Si jamais ça flambe et que le béton des piles s’en trouve dégradé (la simple dilatation locale causerait des fissures), les enquêtes étant chapeautées par le brigadier dont il est question plus haut (lieutenant Boulon, commandant les brigades de Blesle et Ste Florine), qui sera désigné comme présumé coupable et responsable ?....

Et avec un Gérard Zemerli à la tête du tribunal (président du T.G.I.), la présomption deviendrait vite culpabilité avérée.

Quant à Douix, il n’aurait absolument aucune crainte à avoir : pour ce qui est de l’exonérer de toute responsabilité (ainsi que son complice Filiol), le même Zemerli sait faire (affaire du Bois-Grand).

Qui donc peut trouver intérêt à lacérer les pneus d’un matériel inutilisé, tout pourri, au rebut depuis des années.... si ce n’est le propriétaire lui-même et sa clique protectrice, dans le cadre de ce qui vient d’être dit.

Photos : Novembre 2010

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Photo : Novembre 2010

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