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- “Inverser la courbe du chômage”....
Tous les gouvernements, les uns après les autres, nous enfument sans vergogne avec leur “volonté” d’inverser la courbe du chômage....
Mais, à moins de renoncer à l’évolution technologique qui fait que tout est de plus en plus mécanisé et automatisé (ce qui, au passage, surmultiplie les profits.... qui ne sont pas redistribués), c’est MATHÉMATIQUEMENT IMPOSSIBLE (à moins d’un retour aux conditions ancestrales).
Vos dirigeants se foutent ouvertement de votre gueule !
La “CRISE”.... >>>>>...........................................................>>>>>>......................................................................>>>>>>
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- Le “réchauffement climatique”....
On entend un peu partout parler de prévisions pour 2050 ou 2070... tant de degrés en plus, tant d’élévation du niveau des océans....
Il me semble tout de même que très peu de gens tiennent compte, non seulement des réactions en chaînes imprévisibles qui ne manqueront pas de jouer les trouble-fête; mais aussi du fait que, le phénomène s’auto-alimentant, les choses ne sont pas à multiplier par le temps mais par son carré.... Et là, ça va vite, puis très vite, puis extrêmement vite.
Scénario catastrophe (pour réduire la question à ce qui concerne seulement la chaleur et l’eau) :
Chacun sait que la vitesse d’évaporation de l’eau est proportionnelle à la température ambiante... et que l’eau recouvre les deux tiers de la surface du globe. Donc, plus la température va s’élever et plus l’atmosphère va se charger en humidité... ce qui va accentuer l’effet de serre et activer encore plus l’évaporation... qui augmentera l’effet de serre....
L’évaporation produisant du froid, les écarts de températures généreront des courants de plus en plus violents... le vent activera encore un peu plus l’évaporation et transportera des masses d’eau de plus en plus importantes sur les terres.
Quand le ravinement aura comblé le fond des océans et fait monter le niveau de façon vraiment importante, il y aura longtemps déjà que le monde sera devenu invivable pour les mammifères terrestres dont nous sommes.
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- Le prix de ‘essence.....
Tout le monde (ou presque) s’offusque du pourcentage de taxes dans les prix des carburants.... Mais le prix de base hors taxes comprend déjà les salaires pharaoniques des dirigeants des sociétés pétrolières et aussi les dividendes reversés aux actionnaires....
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- Energie “renouvelable”....
Publicité officielle pour promouvoir le chauffage au bois, subventions, etc..
Il faut 80 à 100 ans pour faire un arbre à bois dur utilisé habituellement pour le chauffage domestique... il faut moins d’une minute pour l’abattre. On peut replanter à tours de bras (aux frais du contribuable), il est clair que ça ne peut pas suivre.
“On se fout de notre gueule” (“on” : encore les politiques). C’est la logique même qui le montre et c’est reconnu par des professionnels de la gestion du patrimoine forestier.
Pour ce qui est des résineux, ils repoussent un peu plus vite, mais ça ne change pas grand-chose.
Dans les Landes, l’appât des subventions pour le reboisement fait que des zones qui n’étaient pratiquement pas touchées par la tempête se retrouvent déboisées... des étendues dénudées presqu’à perte de vue. Replantées, elles vont tout de même rester des années sans aucun obstacle au vent.
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- La baisse du nombre des accidents sur la route....
Dans la réalité des faits, les restrictions imposées n’y sont pas pour grand-chose.
Les trois causes principales sont :
1) le fait qu’une bonne partie des conducteurs (trices) actuels sont nés à une époque où la voiture était déjà un outil banalisé, ils ont grandi avec, la conduite est donc une banalité pour eux. Les autres, ils ont eu de nombreuses années pour se familiariser avec la voiture et les règles de circulation routière, ce qui n’était pas le cas dans les années 60 par exemple.
2) l’évolution au niveau de la conception des voitures.
3) l’amélioration de toute l’infrastructure routière et des règles du code (priorité rond-point par exemple).
Dans les années 60, le train arrière de beaucoup de voitures était encore constitué d’un essieu rigide et de ressorts à lames....
Je ne sais plus de quelle époque date l’interdiction des pneus à carcasses diagonales, mais la conduite d’un véhicule équipé de ces pneus s’apparentait plutôt à celle d’un bateau.
Il vous suffit de monter des pneus “cross” (interdits pour la route) sur votre voiture pour voir ce que ça donne. Leur carcasse diagonale facilite les déformations dans tous les sens, donc le “décrottage” utile en terrain gras.
Aujourd’hui, la conception des voitures est définie par des ordinateurs.
Lorsqu’on regarde les échangeurs en périphérie d’une grande ville, la circulation ressemble à un flot ininterrompu qui s’écoule parfaitement en s’entrecroisant dans “tous les sens”. On peut rester des heures et même des journées entières sans qu’il n’y ait le moindre problème.
Dans les années 60, une telle chose n’aurait pas pu exister : le nombre de véhicules en circulation était infiniment moindre, et malgré cela, il y avait des accrochages et des voitures en panne un peu partout.
Si on pouvait transposer le niveau de circulation actuel aux années 60, tout serait immédiatement bloqué par une multitude de carambolages.
Ceux qui prétendent avoir fait baisser le nombre d’accidents sur les routes par leurs décisions politiques sont comparables à la puce qui dit à l’éléphant : “t’as vu comme on l’a fait trembler le pont...”
Mais c’est dans la logique des choses : le mensonge est la religion des “politiques”.
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